Astrid AKOPIAN


 

 

Astrid Akopian prépare depuis septembre 2015 un doctorat en droit et science politique au sein du Centre d’histoire et d’anthropologie du droit (CHAD EA 4417) à l’Université Paris Nanterre, son projet de thèse s’intitule : Le statut des religions en U.R.S.S. à travers le prisme de deux Républiques : la Russie et l’Arménie. Droit soviétique et attitudes individuelles, sous la direction de M. le professeur Aram Mardirossian. Doctorante contractuelle, elle assure des T.D. sur les « Grandes notions juridiques de l’Antiquité », dans le cadre de la Licence 1 de Droit Science politique à l’Université Paris Nanterre.

Titulaire d’un Master 1 en Droit européen, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et d’un Master 2 recherche « Histoire et anthropologie juridiques comparées » (mention bien), Université Paris Nanterre, son mémoire portait sur La réinvention de l’ordalie par le cadavre qui saigne dans l’Occident du XIIIe au XVIIIe siècle, elle est bilingue en français et russe, maîtrise l’anglais et l’arménien et a des notions d’allemand.
Sa contribution aux Rencontres doctorales 2016 de l’IPRA (Institut du Pluralisme Religieux et de l’Athéisme) : Religion en jeu : représentations et manipulations du religieux, intitulée « L’athéisme en Union soviétique : quand le marxisme-léninisme se pare de religiosité » est publiée en ligne depuis le 13 novembre 2017 : https://ipra.hypotheses.org/512


 

 

Mis à jour le 17 janvier 2021